
Depuis le mois de Juin 2020, qui coïncide avec l’arrivée d’une nouvelle équipe dirigée par une Project Manager italienne, les staffs sénégalais vivent l’enfer avec des ruptures de contrat abusives, un environnement de travail dégradant et des discriminations quotidiennes.
Tous les sénégalais qui travaillent au bureau pays de l’OIM sont en danger, selon une note confidentielle parvenue à PressAfrik.
Le constat est d’autant plus scandaleux qu’il s’agit d’une organisation internationale qui promeut la dignité humaine, rapportent nos sources qui ont préféré garder l’anonymat par crainte de représailles.
« Sur un projet finissant, ce sont les nationaux qui sont renvoyés sous prétexte qu’il n’y a pas de budget. Alors que des alternatives sont toujours trouvées à coups de gymnastiques budgétaires quand il s’agit de staff international (surtout si la personne est blanche !). Comme si la solidarité entre internationaux et leurs carrières comptent plus que l’expérience et la compétence des staffs locaux. L’administrateur financier du bureau pays, place ses compatriotes italiens comme il le veut », dénonce la note.
Qui alerte: « Ce qui inquiète le plus le staff local est le départ imminent du chef de mission car il se profile un « nettoyage » des anciens au profit de staffs plus dociles, plus malléables. Des personnes qui ont fait plus de 10 ans de service ont vu leurs contrats résiliés alors que de nouveaux staffs internationaux arrivent tous les jours. D’autres personnes avec 25 ans de services ont été tout simplement licenciées sans aucune autre alternative »
Il est urgent que les autorités sénégalaises s’intéressent de près à ce qui se passe dans cette agence du système des Nations Unies, « car il est temps de freiner le racisme institutionnel qui commence à prendre racine », rapportent nos sources.
Tous les sénégalais qui travaillent au bureau pays de l’OIM sont en danger, selon une note confidentielle parvenue à PressAfrik.
Le constat est d’autant plus scandaleux qu’il s’agit d’une organisation internationale qui promeut la dignité humaine, rapportent nos sources qui ont préféré garder l’anonymat par crainte de représailles.
« Sur un projet finissant, ce sont les nationaux qui sont renvoyés sous prétexte qu’il n’y a pas de budget. Alors que des alternatives sont toujours trouvées à coups de gymnastiques budgétaires quand il s’agit de staff international (surtout si la personne est blanche !). Comme si la solidarité entre internationaux et leurs carrières comptent plus que l’expérience et la compétence des staffs locaux. L’administrateur financier du bureau pays, place ses compatriotes italiens comme il le veut », dénonce la note.
Qui alerte: « Ce qui inquiète le plus le staff local est le départ imminent du chef de mission car il se profile un « nettoyage » des anciens au profit de staffs plus dociles, plus malléables. Des personnes qui ont fait plus de 10 ans de service ont vu leurs contrats résiliés alors que de nouveaux staffs internationaux arrivent tous les jours. D’autres personnes avec 25 ans de services ont été tout simplement licenciées sans aucune autre alternative »
Il est urgent que les autorités sénégalaises s’intéressent de près à ce qui se passe dans cette agence du système des Nations Unies, « car il est temps de freiner le racisme institutionnel qui commence à prendre racine », rapportent nos sources.
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